Vaccin contre les infections à papillomavirus humain (HPV) : nouvelle propagande pour filles et garçons - USA : Procès contre Merck : " Le vaccin Gardasil a détruit la vie de ma fille"
2025.03/1
Rappel du HPV (papillomavirus humain) : Le papillomavirus humain est une infection virale qui se transmet par contact direct lors de rapports sexuels avec une personne infectée. Les symptômes sont des rougeurs et/ou des lésions cutanées, certaines souches du virus peuvent provoquer l'apparition de verrues (condylomes) sur les organes génitaux ou l’anus. Cette infection appartient à une famille regroupant plus d'une centaine de virus. Le papillomavirus est généralement inoffensif, mais certains avancent que dans certains cas, cela pourrait conduire au cancer.
En début de rentrée scolaire 2023, avec le Collectif “ Parents & Citoyens ”, nous avions lancé une alerte sur les risques d’effets secondaires et la non-efficacité prouvée du vaccin contre les papillomavirus humains, à l’aide de flyers distribués à la sortie des collèges.
En effet, la prétendue campagne d'information, ou plutôt campagne de manipulation, dirigée par le gouvernement et soutenue par les chaînes de télévision, mettait l'accent sur la “protection” offerte par ces injections contre le risque de cancer du col de l'utérus et de l'anus (puisque ce vaccin est désormais également "recommandé" pour les garçons).
Cependant, malgré près de deux décennies de vaccination, les statistiques indiquent une augmentation des cas de cancer du col de l'utérus. Est-ce que cela provient du fait que les femmes, se croyant "protégées", négligent les frottis de dépistage, ou ce vaccin pourrait-il aggraver la situation ? Ce vaccin contre le virus HPV est-il un facteur favorisant ou simplement concomitant au cancer ?
En insistant tant pour vacciner les filles et les garçons dans les collèges, et en exerçant une pression culpabilisante sur les mères qui " n'auraient pas protégé leur fille ” (et maintenant leur garçon), s'agit-il d'information ou de manipulation ?
À qui profitent réellement ces injections (au nombre de trois) ? Par exemple, le coût du Gardasil9 s'élève à presque 136 euros, ce qui fait un total de 408 euros pour les trois doses, sans compter le tarif des trois consultations. Les médecins pourraient-ils avoir des liens d'intérêt avec les laboratoires, qui rapportent d'importants bénéfices à Big Pharma ?
De nombreux parents et adolescents (filles et garçons) ont été sensibles à nos informations données concernant ce vaccin, et ont pu réfléchir à la balance bénéfice/risque, et ainsi, choisir ou non de recevoir ce vaccin.
Insatisfaits de ne pas avoir réussi à vacciner un nombre suffisant d'adolescents, tant filles que garçons, le gouvernement et ses partisans intensifient leurs efforts de communication afin d'inciter la peur et motiver les jeunes collégiens à se vacciner. Une nouvelle campagne serait prévue pour ce mois de mars.
En bas de cette lettre, retrouvez des articles du Dr Nicole Delépine, ancienne interne et ancienne Chef de Clinique des Hôpitaux, spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Médecin hospitalier, elle a dirigé l'Unité Fonctionnelle de Cancérologie de l’Adolescents et de l’Adulte Jeune à l'hôpital Raymond Poincaré de Garches (92) jusqu'à sa fermeture.
Ci-dessous précédentes lettres d’informations qui traitent du vaccin HPV :
2024-08/3 - Rentrée scolaire : nouvelle relance de la vaccination HPV, promue par des collèges !
2023.11/11 - Référé pour suspension de vaccination HPV en milieu scolaire ;
Résumé du mail reçu par un médecin de Paris :
L'Hôpital Foch de Suresnes et les Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS) de Suresnes et Rueil-Malmaison (92) ont lancé une étude pour évaluer l'impact de la vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) chez les collégiens de 3ème, en même temps que des interventions en santé sexuelle, avec les cours obligatoires d’éducation sexuelle.
Leur objectif : ” identifier les freins et les leviers de la vaccination HPV chez les adolescents et mettre en place une action pour favoriser le rattrapage vaccinal ”.
En effet, face à un taux de vaccination de “ seulement “ (pour eux) 10 à 15 % en France, qui est en dessous de leur objectif de 30 %, cette étude se concentre sur des actions éducatives pour sensibiliser les adolescents aux risques liés au HPV et encourager leur vaccination.
L'étude se déroule en deux phases, la première, interventionnelle qui a eu lieu en octobre 2024 dans neuf collèges publics des Hauts-de-Seine (92) où des interventions d'éducation sexuelle ont été menées par le Dr Aichata Fofana Dara (sexologue), dont quinze minutes ont été dédiées au HPV, et une phase analytique avec un questionnaire distribué à plus de mille collégiens de 3ème afin de mesurer l’impact de l’intervention. Suite à ces interventions, il s’avère qu’une augmentation de la sensibilisation et de l'intention vaccinale chez les collégiens s’instaurent.
Merck doit comparaître devant un jury californien alors que l'essai « historique » du vaccin Gardasil contre le VPH démarre :
(début de l’article traduit en francais avec Google Translate) :
“ Jennifer Robi, confinée dans un fauteuil roulant depuis l'âge de 16 ans après avoir reçu trois doses du vaccin anti-HPV Gardasil, affrontera Merck à Los Angeles.
Robi, qui a poursuivi Merck en 2016, a déjà remporté plusieurs requêtes préliminaires clés. Children's Health Defense soutient l'affaire.
La sélection du jury a commencé cette semaine dans une affaire portée devant la Cour supérieure de Californie contre Merck, accusant le fabricant de vaccins de fraude, de négligence et de dissimulation de la probabilité et de la gravité des effets indésirables associés à son vaccin Gardasil contre les HPV.
L'affaire concerne une plainte déposée en juillet 2016 par Jennifer Robi dans le comté de Los Angeles. L'issue du procès pourrait avoir des répercussions sur des centaines d'autres procès impliquant le vaccin Gardasil de Merck.
Le procès de Robi accuse également les hôpitaux de la Fondation Kaiser de faute médicale pour avoir administré le vaccin et de ne pas avoir diagnostiqué son état immunologique et son lien avec le vaccin.
Toutefois, mercredi soir, Kaiser a conclu un accord avec Robi, évitant ainsi un procès. Les termes de l'accord sont confidentiels. Robi a également remporté des requêtes préliminaires clés lorsque la juge de la Cour supérieure Elaine Lu a statué contre la requête de Merck en jugement sommaire et plusieurs requêtes visant à exclure des témoins experts clés du plaignant.
Le procès est « historique », selon Michael Baum, avocat chez Wisner Baum, car il s'agit du premier cas de blessure causée par un vaccin à passer par le processus requis de demande d'indemnisation par le biais du programme fédéral d'indemnisation des blessures causées par un vaccin, puis à un procès civil.
Kim Mack Rosenberg, avocat général de Children's Health Defense (CHD), qui a été activement impliqué dans le litige depuis le début, a déclaré que le début du procès est une « véritable étape importante » dans le litige contre Gardasil.
« En raison de l’extraordinaire protection de responsabilité qui protège l’industrie pharmaceutique en vertu de la loi de 1986 , il est rare qu’un vaccin recommandé dans le calendrier de vaccination des enfants soit jugé par un tribunal d’État ou fédéral », a déclaré Mack Rosenberg.”
Suite de l’article complet Children's Health Defense - 23/01/2025 - en cliquant ici
Voici le mail reçu par un ami médecin de Paris :
“ En prévision de la journée mondiale de sensibilisation autour des maladies HPV, le 4 mars prochain, l'Hôpital Foch de Suresnes et les CPTS de Suresnes et de Rueil Malmaison dévoilent une étude inédite sur la pertinence de la vaccination en classe de 3ème en parallèle d'interventions en santé sexuelle dans les collèges, à l'heure où le sujet fait débat auprès des parents et du gouvernement.
Je me tiens à votre disposition si vous avez besoin d'éléments complémentaires ou d'interviews. Bien à vous
L. T
Copié-collé du complément d’information joint avec le texte précédent :
Vaccination HPV : une étude inédite révèle l’intérêt des interventions en santé sexuelle dans les classes de 3ème afin de faciliter le rattrapage vaccinal.
La France accuse un retard significatif en matière de vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) par rapport aux autres pays développés, malgré l'instauration en 2023 d'une campagne ciblant les élèves de 5ème directement dans les collèges. Avec un taux de vaccination au collège entre 10 et 15 %, bien en deçà des objectifs de 30 %, la question de la pertinence d’un rattrapage vaccinal se pose. C'est dans ce cadre qu'une collaboration inédite entre l'Hôpital Foch et les Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS) de Suresnes et de Rueil-Malmaison, avec le soutien de la CPTS de Neuilly-sur-Seine, a vu le jour.
Cette étude repose sur l'idée que des interventions en santé sexuelle ciblées, menées auprès des collégiens de 3ème, plus proches de la puberté et de la santé sexuelle que ceux de 5ème, peuvent renforcer leur sensibilisation aux risques liés au HPV et favoriser leur passage à l'acte vaccinal.
Étude menée dans le cadre de l’appel à projet en Recherche en Soins Primaires interrégional ReSP-Ir 2022, par le réseau de santé sexuelle du Mont Valérien financé par l’Agence Régionale de Santé Île de France (ARS-IDF), la Direction de la Recherche Clinique et de l’Innovation (DRCI) de l’Hôpital Foch de Suresnes et les CPTS de Suresnes et de Rueil Malmaison.
Ce protocole de recherche repose sur deux phases :
Une phase interventionnelle (octobre 2024) : 9 collèges publics des Hauts-de-Seine (92) ont accueilli des interventions en santé sexuelle d’une heure, faites par le Dr Aichata Fofana Dara (sexologue) intégrant 15 minutes dédiées au HPV.
Plus de 1 000 collégiens de 3e ont été sollicités afin de répondre à des questionnaires avant et après ces sessions et ainsi mesurer l’impact de l’intervention.
Une phase analytique (avril-mai 2025) : une analyse des données de vente des vaccins HPV dans les pharmacies de Suresnes, Rueil-Malmaison et de deux autres communes témoins, Courbevoie et Neuilly-sur-Seine (qui n’ont pas reçu d’interventions dans leurs collèges) permettra d’évaluer concrètement l’impact de ces interventions sur la vaccination.
Le Dr Zucman, infectiologue à l’Hôpital Foch et porteur du projet, explique :
« Traditionnellement, l’hôpital concentre ses recherches sur les patients. Avec cette étude, nous sortons de ce cadre pour aborder des enjeux de santé publique plus larges, comme la prévention. Nous voulions identifier les freins et les leviers de la vaccination HPV chez les adolescents et mettre en place une action pour favoriser le rattrapage vaccinal. En ciblant les élèves de 3e, plus proches de la puberté, nous les impliquons directement pour qu'ils deviennent acteurs de leur santé. Et à 14 ans, deux injections de vaccins suffisent encore, contrairement à trois après 15 ans. »
Une étude inédite en France : l’impact des interventions en santé sexuelle sur la vaccination HPV :
Depuis 2001, la loi prévoit trois séances d’éducation sexuelle et affective par an aux trois niveaux de scolarité école, collège et lycée. Cependant, ce dispositif reste peu appliqué dans certains établissements scolaires.
À l’automne 2024, le sujet est revenu au cœur des débats avec le projet de refonte du programme, incluant des thématiques plus approfondies pour les élèves du collège et du lycée, telles que la prévention des risques ou les droits humains. Le personnel éducatif devrait être formé à ces questions dès 2025. Cependant, ces interventions suscitent de vives controverses, notamment de la part de certains parents, inquiets que leurs enfants soient confrontés à des sujets qu’ils jugent sensibles ou susceptibles de les choquer.
C’est dans ce contexte de débat sociétal que s’inscrit cette étude menée par l’Hôpital Foch et les CPTS de Suresnes et de Rueil-Malmaison. L’objectif est d’évaluer l’impact des interventions en santé sexuelle sur la sensibilisation, la compréhension des risques et la vaccination HPV des adolescents. Ce projet constitue un exemple de collaboration entre recherche hospitalière et médecine de ville, visant à mieux intégrer la prévention dans les pratiques de soins.
Des premiers résultats prometteurs : une sensibilisation et une intention vaccinale renforcées chez les collégiens de 3ème après les interventions en santé sexuelle.
Interrogés via un questionnaire anonyme pré-intervention (n=1000), 94 % des collégiens de 3e déclarent n’avoir pas encore eu de relations sexuelles ce qui renforce la pertinence de la vaccination sur cette tranche d’âge. Leur méconnaissance du vaccin HPV reste problématique : plus de 35 % ignorent totalement leur statut vaccinal.
Par ailleurs, alors que ces cours sont obligatoires dans le cursus, 25 % des sondés déclarent n’avoir jamais bénéficié de cours d’éducation à la vie sexuelle et affective. De plus, seulement 18 % des élèves non vaccinés déclarent vouloir recevoir le vaccin contre le HPV.
L’étude met également en lumière un enjeu lié au genre : les filles possèdent une meilleure connaissance du HPV que les garçons. Cette disparité reflète en partie le fait que la vaccination des garçons n'est recommandée que depuis trois ans.
Les interventions en santé sexuelle semblent porter leurs fruits. Interrogés cette fois post-intervention :
70 % des collégiens déclarent avoir appris de nouvelles choses sur les risques liés aux maladies sexuellement transmissibles, dont le HPV.
¾ des élèves perçoivent désormais mieux les dangers liés à ce virus.
Près de 50 % envisagent de se faire vacciner et souhaitent en parler à leur entourage (parents/médecin), soit un taux d’adhésion 2,6 fois plus élevé qu’avant intervention.
Le Dr Zucman se réjouit de ces résultats : « Ces interventions ont montré qu'il est possible d'améliorer rapidement la compréhension des risques chez les adolescents.
Par ailleurs, ils ne sont pas gênés par ces discussions et en ressortent souvent plus confiants. »
Des perspectives encourageantes pour rattraper le retard vaccinal en France :
Au-delà de la sensibilisation, cette étude vise à démontrer qu’une communication ciblée en milieu scolaire, suivie d’une communication auprès des familles, pourrait significativement améliorer la couverture vaccinale. La seconde phase d’analyse, prévue pour 2025, permettra de vérifier si les intentions exprimées par les collégiens se traduisent par une augmentation des vaccinations sur le terrain (Suresnes, Rueil-Malmaison avec Courbevoie et Neuilly-sur-Seine comme villes témoins).
Le Dr Pinot, médecin généraliste, maitre de conférences universitaire en médecine générale à l’université Paris Cité et présidente de la CPTS de Suresnes, et le Dr Leymarie, médecin généraliste et président de la CPTS du Rueil, soulignent l’importance des prochaines étapes : « Si l’analyse des ventes de vaccins dans les officines de Suresnes et Rueil confirme une hausse par rapport aux communes témoins, cela prouvera l’efficacité des interventions en santé sexuelle. Il ne faut pas sous-estimer le rôle de ces actions complémentaires, en particulier pour les élèves de 3e. L’ARS IDF a d’ailleurs manifesté son intérêt pour les résultats préliminaires de l’étude. »
Articles des Drs Nicole & Gérard Delépine qui ont traité le sujet du vaccin contre les papillomavirus
“ Les Français doutent du Gardasil, le refusent largement “ :
“ Le gardasil n’a jamais démontré son utilité contre les cancers du col ou de l’anus, qui se développent lentement sur des décennies. Son efficacité contre les infections à papillomavirus (HPV) n’a que peu d’intérêt contre une contamination qui guérit spontanément chez 90 % des gens. Ses potentielles complications (perte de la fertilité, accidents neurologiques, etc.) et son énorme coût financier plaident pour un abandon de cette vaccination et surtout un renoncement à toute obligation et/ou pression sur les familles.”
Article complet - 12/12/2023 - en cliquant ici
“ La campagne Gardasil n’a pas été le succès espéré par le pouvoir “
“ Dans un article récemment publié dans Le Parisien, l’absence de neutralité de la journaliste Elsa Mari est évidente dans son analyse de l’actuel échec de la campagne scolaire de vaccination par Gardasil. Elle se contente de répéter les déclarations trompeuses d’experts étroitement liés à l’industrie pharmaceutique.”
Article complet - 12/01/2024 en cliquant ici
Combien faudra-t-il de morts pour stopper la vaccination Gardasil ?
“ La mort dramatique d’un collégien à Nantes lors d’une vaccination Gardasil rappelle qu’aucun traitement ni aucune vaccination n’est dénuée de risque. La seule justification d’un traitement réside dans les bénéfices qu’il peut apporter. Or le collégien de Nantes est mort pour une vaccination contre les papillomavirus qui ne pouvait lui apporter aucun bénéfice personnel, ni non plus protéger les autres ! “
Article complet - 15/11/2023 en cliquant ici
Autres articles en cliquant ici
Vaccination, questions-réponses : les 11 vaccins & les autres avec Sophie Guillot & Martine Léonard du collectif “Parents & Citoyens France “
Pour Tribune Libre, le 14 novembre 2024, Stéphanie Reynaud s’entretient avec Sophie Guillot, lanceuse d’alerte santé, et Martine Léonard, fondatrice du collectif « Parents & Citoyens France », qui apportent des réponses dans cette “ Foire Aux Questions “.
Les chapitres sont indiqués ;
Le sujet : “ Le Gardasil (contre le HPV) est-il obligatoire au collège ? ” se situe au timing 2:19:51.
Courriel du collectif : parents.citoyens.france@gmail.com
La vidéo Questions/réponses en cliquant ici
Une pétition initiée par Les Lignes Bougent
“ NON à la vaccination forcée de nos enfants ! Des études non fiables, non indépendantes, une utilité non avérée, des expériences internationales non concluantes,…M. MACRON Vous ne pouvez pas rendre obligatoire le vaccin contre le papillomavirus
Destinataire(s) : M. Emmanuel Macron, Président de la République et Aurélien Rousseau, Ministre de la Santé ”
.……..INFORMATIONS GENERALES………
RAPPEL : notre Assemblée Générale se tiendra le 26 avril 2025 à Saintes (17) Plus d’informations en cliquant ici
INFORMATIONS GENERALES - à diffuser largement :
Plateforme d’écoute " SOS Effets indésirables Vaccinations et Covid ”
Numéro Vert : 0 972 129 808
Issue de dialogues avec des associations et des collectifs de victimes de la vaccination anti-Covid, la plateforme propose un espace d'écoute pour ceux dont la voix et la douleur, tant physique que psychologique, sont ignorées ou minimisées, ainsi qu'à ceux qui souhaitent partager leur expérience. Des bénévoles formés offrent un accueil bienveillant et confidentiel, tout en orientant les personnes selon leurs besoins vers des associations appropriées, du lundi au samedi de 10h à 22h. Vous pouvez également contribuer à cette initiative en rejoignant notre équipe d'écoutants par le numéro vert ci-dessus ou à l'adresse suivante : sos.ecouteei@proton.me
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