Référé pour suspension de vaccination HPV en milieu scolaire ; Projet de loi visant à condamner l'information médicale libre et indépendante ; I.A. pour surveiller toute critique ; Pfizer en justice
2023.11/11
Nous rappelons notre pétition sur le site de l’Assemblée Nationale pour l’abrogation des obligations vaccinales. Lien direct en cliquant ici
1 - Référé pour une demande de suspension de la vaccination HPV en milieu scolaire
Suite au décès du jeune collégien au collège privé St Dominique à St Herblain quelques temps après avoir reçu la vaccination avec le vaccin Gardasil (article ici), l’association UPGCS, (Union pour la Prévention et la Gestion des Crises Sanitaires) accompagnée de parents, a déposé lundi 20 novembre 2023 auprès du Tribunal administratif de Nantes, un référé liberté dont le but était de faire suspendre la vaccination contre les virus à papillomavirus (vaccin Gardasil) dans les collèges des Pays de la Loire.
Au départ, Madame la juge du Tribunal administratif de Nantes a jugé la requête recevable, considérant que le droit à la vie et le droit à un consentement libre et éclairé étaient des libertés fondamentales qui devaient être protégées.
Or, le mercredi 22 novembre 2023, Madame la juge a prononcé un rejet quant à ce référé liberté, estimant qu'il n'y avait aucune situation d’urgence particulière justifiant que le juge des référés se prononce dans un délai de quarante-huit heures.
Elle n’a pas entendu les demandes de l’UPGCS et des requérants sur la nécessité d’une information claire et accessible et non orientée à disposition des parents
ni sur la nécessité absolue d’un environnement approprié et spécifique à un acte médical pour lequel la notice du vaccin est explicite sur les effets indésirables possibles, et pour justifier le rejet de la condition d'urgence, elle a estimé " qu’au regard des circonstances du décès, l’Agence Nationale de la Sécurité et du Médicament (ANSM) a préconisé aux professionnels de santé participant à la mise en œuvre de cette campagne de maintenir allongés ou assis par terre adossés à un mur, les collégiens durant 15 minutes après l’injection du vaccin. ” que cette mesure est suffisante, les requérants ne prouvant pas le contraire.
Mais ce référé a permis d’informer la population par la voie des presses locales telles “Ouest-France”, “Presse Océan” et “France Bleue” , avec près de dix articles, rappelant les circonstances du décès du jeune collégien, dont les autorités ont tenté d'étouffer l'affaire.
Communiqué de presse de UPGCS du 20/11/2023 - Journée des droits des enfants :
“ Campagne de vaccination HPV dans les collèges : informations partielles, encadrement inadapté et précipitation mettent en péril la vie des enfants ! ” en cliquant ici
Article Ouest-France du 21/11/2023 en cliquant ici
(pour les abonnés Ouest-France).Communiqué de Presse de UPGCS suite au rejet en cliquant ici
2 - Projet de loi “Article 4” visant à condamner l'information médicale libre et indépendante
Vidéo de Florian Philippot, que nous diffusons de façon apolitique, juste pour les explications.
(Les informations citées dans cette lettre sont ouvertes à toutes les opinions et nous bannissons toute forme de censure)
L'article 4 du projet de loi déposé ce 15 novembre au Sénat à l’initiative du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, avec le sous prétexte de « lutter contre les dérives sectaires », intitulé “ Protéger la santé ”, menace de punir “ d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros toute personne qui oserait remettre en question les traitements médicaux officiellement approuvés, y compris les médicaments et les vaccins, en dénonçant les graves effets indésirables ”.
Au départ, cela est présenté pour protéger des dérives sectaires, de charlatans pouvant mettre en danger la vie d’autrui, (ce qui est normal), mais cela va plus loin, avec une pure censure de liberté d'expression, à l’encontre du droit à une information médicale non censurée et accessible à tous, et à une possibilité de partager et de recevoir des informations sur la santé.
En effet, cet article 4 s’appliquerait à toute personne et tout média informant sur la santé, les médecines alternatives sont donc de fait comparées à des dérives sectaires, voici ce qui est écrit à l’alinéa 5 :
« Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »
Cela signifie que des médecins qui dénonceraient un médicament responsable de décès, qui proposeraient des traitements naturels non approuvés par la médecine de l’Etat, que des lanceurs d’alerte parlant d’effets indésirables sur un vaccin, qu’un magazine écrivant une mise en garde contre des médicaments en vente libre, ou les personnes œuvrant pour une association informant des risques de vaccination, seraient punis avec une période de prison et des amendes !
Des pétitions circulent, mises pour information :
Copié collé de l’Article 4
Après l’article 223-1-1 du code pénal, il est inséré un article 223-1-2 ainsi rédigé :
« Art. 223-1-2. – Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique.
« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente.
« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.
« Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »
Ce projet de loi déposé par le gouvernement est actuellement en cours d'examen au Parlement, et il y a un risque important qu'il soit adopté, si besoin par un énième recours au 49-3. On peut craindre que les députés et sénateurs, quasiment unanimes pour imposer l'obligation vaccinale contre le covid, aillent dans le même sens. Contester l’interdiction amènera à être traîné en justice et lourdement condamné.
Article de Xavier Azalbert pour France-Soir du 22/11/2023 en cliquant ici
PROJET DE LOI (procédure accélérée) visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires
PROJET DE LOI visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires - 15 novembre 2023
3 - I.A. pour surveiller toute critique
Une équipe du laboratoire pharmaceutique de Moderna utilise l’I.A. (l’intelligence artificielle) et surveille 150 millions de sites web avec des agents du FBI pour rechercher les critiques « anti-vaccins “ à son égard dans les médias grand public ainsi que sur les réseaux sociaux.
Deux journalistes américains ont mené une enquête qui démontre de quelle façon l’industrie du médicament a développé ses propres agences de renseignements, leur volonté, objectif étant de censurer tout discours contraire au leur, et manipuler l’opinion publique avec l’I.A, et révèlent Novak Djokovic et Elon Musk sont considérés comme une menace pour l'industrie.
Article de Covidhub du 30/11/2023 en cliquant ici
L’article de Média-Presse-Info du 25/11/2023 en cliquant ici
4 - Pfizer attaqué en justice pour avoir « sciemment distribué» des médicaments frelatés à des enfants
« Pfizer et Tris Pharma ont intentionnellement dissimulé et omis de divulguer les problèmes liés au Quillivant, un médicament destiné aux enfants souffrant de troubles déficitaires de l’attention/hyperactivité (TDAH), alors qu’ils savaient que le médicament ne répondait pas aux normes fédérales, afin de bénéficier de prestations financées par le contribuable dans le cadre du programme Medicaid du Texas, fraudant ainsi l’État et mettant en danger des enfants.”
Article The Epoch Times - 27/11/2023 en cliquant ici
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