Vaccin Abrysvo sur les femmes enceintes ; Anticorps monoclonaux Beyfortus sur des nourrissons de 48h - Coqueluche - Les 11 vaccins et + - Un lanceur d'alerte du CDC dévoile le lien autisme/vaccination
2024.12/3
Fumer et boire de l’alcool pendant la grossesse nuisent à la santé de l’enfant, mais vacciner une femme enceinte n’est pas nuisible !!
Il est à noter qu'il y a peu de temps encore (depuis 4 ou 5 ans), les vaccinations et la prise de médicaments étaient strictement interdites durant la grossesse.
Aujourd'hui, l’état de grossesse n’interpelle plus personne, et les implications sur l'immunité de la mère et de l'enfant, ainsi que leurs effets à court, moyen et long terme, ne sont plus vraiment examinées.
(Précédentes lettres du 09/09/2024 en cliquant ici et du 05/07/2024 en cliquant ici)
Les “officiels” recommandent donc actuellement aux femmes enceintes de se faire vacciner contre :
la coqueluche (mais aucun vaccin pour la coqueluche seule n’existe, il faut donc en passer par le cocktail diphtérie, tétanos, polio et coqueluche) donc 4 produits différents en une injection,
le Covid,
la bronchiolite,
et en hiver, la grippe.
On estime qu'une femme enceinte reçoit entre 6 et 7 injections différentes, qui passent par le placenta alimentant le fœtus, sans savoir les implications pour ce dernier.
La peur est TOUJOURS utilisée pour inciter les femmes à se faire vacciner, sans tenir compte des réalités de la situation sanitaire.
Ces vaccinations sont présentées comme un moyen de "protéger" le bébé, et “réduire” ainsi considérablement les risques de mortalité.
Dans ce contexte, il n'est pas surprenant que de nombreuses jeunes femmes se soumettent, redoutant les conséquences graves pour leur enfant.
Il n'y a également aucune interrogation concernant le réveil, la disparition ou le mélange de germes, alors que nous comprenons de mieux en mieux aujourd'hui qu'un être humain est en réalité constitué de bien plus de bactéries que de cellules humaines !
La question qui se pose est la suivante : pour 3 grossesses, faut-il répéter les 5, 6 ou 7 injections 3 fois ?
Royaume-Uni : fin de la “vaccination” Covid pour les femmes enceintes :
Le Comité mixte britannique pour la vaccination et l’immunisation (JCVI) a décidé de suspendre la distribution gratuite des “vaccins” Covid pour les femmes enceintes à partir du printemps 2025. À ce jour, les autorités sanitaires n'ont pas fourni d'explications détaillées ni de justifications concernant le rapport “bénéfice-risque” des vaccins pour les femmes enceintes.
Au contraire, des études précédentes ont confirmé le danger des “vaccins” Covid pour les futures mamans.
Article Le Courrier des Stratèges - 22/11/2024 en cliquant ici
Vaccin Abrysvo pour les femmes enceintes :
Risque d’augmentation des naissances prématurées
Abrysvo, un vaccin protéique bivalent contre la bronchiolite du nourrisson, développé par la firme Pfizer, a reçu une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) européenne le 23 août 2023. Il est destiné à la vaccination des femmes enceintes entre la 24ème et la 36ème semaine de grossesse.
En Allemagne, la Stiko (commission permanente de vaccination) conclut que les données sont insuffisantes à l'heure actuelle pour pouvoir décider d'une éventuelle recommandation et que les données sur l'efficacité ne sont disponibles qu'à partir d'un essai clinique randomisé avec < 4000 participants dans le groupe vaccin.
Un déséquilibre a été observé concernant le nombre d'accouchements prématurés entre le groupe témoin vacciné et celui non vacciné, avec une augmentation des accouchements prématurés dans le groupe témoin vacciné.
“ Die STIKO kam nach Prüfung der vorliegenden Evidenz jedoch zu dem Schluss, dass die Datenlage zum jetzigen Zeitpunkt nicht ausreicht, um über eine mögliche Empfehlung entscheiden zu können."
TRADUCTION : “ Cependant, après avoir examiné les preuves disponibles, le STIKO est parvenu à la conclusion que la situation des données n'est actuellement pas suffisante pour pouvoir décider d'une éventuelle recommandation."
Bulletin en pdf du Robert Koch Institut en cliquant ici
Le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) - Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux Etats-Unis - annonce que le risque de prématuré est augmenté de 75 % lorsque le vaccin Abrysvo est injecté à la mère avant 34 semaines de grossesse.
Or, l’EMA (European Medicines Agency - Agence européenne des Médicaments) recommande une injection entre 24 et 34 semaines, et la HAS (Haute Autorité de Santé) entre 32 et 36 semaines, la FDA aux Etats-Unis entre 32 et 34 semaines….
Pourquoi ces recommandations différentes selon les agences de santé ?
Comment expliquer le désaccord entre l'EMA, la HAS, la FDA et la STIKO (Allemagne) ? Certaines agences adoptent-elles une approche trop prudente tandis que d'autres le font de manière moins rigoureuse ?
Anticorps monoclonaux Beyfortus® sur des nourrissons de 48h :
Dès la naissance, dans les heures ou les jours qui suivent, le monde médical de la maternité recommande vivement d’administrer une injection d’anticorps monoclonaux (Beyfortus®) au nouveau-né, soulignant que cela vise à le protéger contre la bronchiolite.
Or il serait nécessaire de vérifier les chiffres afin de déterminer l'équilibre entre les "bénéfices et risques”.
Cette injection n'est administrée que depuis l’automne 2023 et les données disponibles sont encore très limitées. Il est donc trop tôt pour avoir un avis éclairé et cela mériterait de la prudence.
Alertons les futures mamans et les parents : Beyfortus® le rapport
Dans cette vidéo, Hélène Banoun, pharmacienne-biologiste, ancienne chercheuse à l'Inserm et auteure de nombreux articles analyse le “ Beyfortus® “, un traitement monoclonal destiné à prévenir les bronchiolites dues au Virus Respiratoire Syncytial chez les nourrissons.
Elle évoque également le vaccin Abrysvo, recommandé aux femmes enceintes entre 32 et 36 semaines d’aménorrhée pour protéger les nouveau-nés et prévenir l'infection par le VRS.
Ces deux nouvelles molécules, tout juste développées, sont “censées protéger” les nouveau-nés contre un virus pouvant causer des complications au niveau respiratoire...
Quel est le bilan depuis leur lancement sur le marché ?
Le rapport entre les bénéfices et les risques penche-t-il en faveur de leur utilisation, ou percevons-nous déjà des signaux d'alerte préoccupants ?
Interview de Hélène BANOUN - 06 novembre 2024 en cliquant ici
Emission de Clémence Houdiakova - TOCSIN du 08/10/2024 : “ Beyfortus : Le rapport officiel qui dérange Big Pharma ” en cliquant ici
Article de Nexus du 01 octobre 2024 en cliquant ici
Décès lors des essais cliniques :
Malgré 12 décès au cours d'essais cliniques, le CDC (Etats-Unis) autorise la vaccination contre le VRS pour les nouveau-nés.
L'article du Defender Children’s Health Defense souligne que 12 décès de nourrissons ont été signalés dans les groupes traités lors des essais cliniques, bien qu'aucun d'eux n'ait été attribué au traitement.
Dans l'ensemble des essais, le nombre de décès était plus élevé dans les groupes ayant reçu le traitement par rapport aux groupes placebo, ce qui soulève des questions. L'Agence américaine des médicaments (FDA) a également fait cette observation.
De plus, une étude portant sur des nourrissons fragiles ou prématurés a constaté une incidence de décès supérieure dans le groupe traité avec le Beyfortus (5 décès) comparativement à celui traité avec le Synagis (1 décès), ce dernier étant un anticorps monoclonal administré aux nouveau-nés fragiles ou prématurés depuis environ vingt ans.
Article de The Defender du 04 août 2023 en cliquant ici
Dans de rares cas le Beyfortus® facilite et aggrave la bronchiolite à VRS du nourrisson
Analyse de Hélène Banoun du CSI sur le rapport ANSM du 30/09/2024 sur le Beyfortus en cliquant ici
Article en revue internationale traduit en français en cliquant ici
Analyse de la campagne d'immunisation Beyfortus®:
Efficacité, biais et risques d'ADE dans la prévention du VRS :
Publication de l’article d’Hélène Banoun dans la revue « Current issues in molecular biology » - AIMSIB du 29/09/2024 en cliquant ici
COQUELUCHE, le retour ?
Résurgence de Bordetella pertussis (agent de la coqueluche) :
L'épidémie de coqueluche pourrait être liée à la résistance des souches circulantes au vaccin : selon une publication de août 2024 de l'Institut Pasteur, la plupart des vaccins contiennent une souche ne possédant pas l'antigène "pertactine" qui est trouvé présent dans 99% des souches isolées et typées.
National Library of Medicine - Eurosurveillance 01/08/2024 en cliquant ici
LES 11 VACCINS ET LES AUTRES :
Rappel des 11 vaccins obligatoires depuis le 01/01/2018, et 15 bientôt : La valse des vaccins chez le pédiatre :
Il suffit de regarder le dessin ci-dessous pour réaliser qu'il ne s'agit pas seulement de 11 vaccins devenus obligatoires, et bientôt 15 en 2025, mais de beaucoup plus.
11 vaccins, c’est sur le papier :
Cependant, il est important de noter que certains vaccins sont administrés jusqu'à 3 fois, tandis que d'autres le sont 2 fois, ce qui augmente considérablement le nombre de doses reçues par le nouveau-né.
Cela soulève des questions sur l'impact que cela peut avoir sur l'immunité encore en développement et sur d'autres aspects, car toute intervention peut modifier divers éléments.
Au final, le nombre de 40 doses est largement dépassé, ce qui devrait tout de même susciter une réflexion.
De plus, ces vaccins contiennent une quantité significative de particules infectieuses variées, ainsi que d'autres substances, notamment de l'aluminium.
En ce qui concerne les études sur le rapport "bénéfices/risques", il convient de souligner qu'elles sont très limitées.
Idem : Que dire des vaccinations administrées pendant la grossesse ? Quel est l’état immunitaire du bébé par rapport aux substances qu’il a déjà reçues durant son temps dans le ventre maternel ? Rarement, on se pose ces questions, et le programme de vaccination obligatoire se met en place sans la moindre vérification ni hésitation.
Il est évident que les parents ne peuvent pas être tenus responsables, car ils manquent des compétences nécessaires pour juger de ces enjeux (ce constat n’est pas péjoratif, car il est impossible d'avoir toutes les connaissances) et, de surcroît, ils n'ont pas le temps de faire des recherches, étant souvent occupés par le travail et la famille.
Ils font confiance aux “ données acquises de la science” présentées par les officiels, souvent relayées par leur médecin, en qui ils placent normalement leur confiance, puisqu'il est leur médecin de famille.
Jeunes enfants :
Après 18 mois, une acalmie vaccinale se met en place, jusqu’à 6 ans.
A cet âge, des rappels sont uniquement recommandés et non obligatoires.
Vaccin contre le papillomavirus :
À partir de 11 à 13 ans, une vaccination non obligatoire contre le papillomavirus est proposée aux garçons et aux filles, tant dans les cabinets médicaux que dans les collèges ! En effet, depuis l’année scolaire 2023-2024, tous les élèves de 5ème peuvent être vaccinés dans leur collège sous réserve d’une autorisation parentale.(précédente lettre à ce sujet en cliquant ici)
Le gouvernement souhaite étendre cette campagne de vaccination contre le papillomavirus combinée aux infections invasives à méningocoques au collège !
Ceci pour vacciner « de manière simultanée » les élèves, conformément à un amendement proposé au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025.
Ces campagnes sont organisées en collaboration entre les Autorités Régionales de Santé (ARS) et les rectorats (quelles sont leurs compétences médicales ??) et divers soignants (médecins, sages-femmes, infirmiers, ou pharmaciens) qui intervennent dans les établissements.
L’objectif du gouvernement est d’atteindre 80% d’enfants vaccinés à l’horizon 2030.
Article complet - Le Parisien du 28 octobre 2024 - en cliquant ici
Curieusement, cette vaccination est proposée à un moment où les hormones sexuelles commencent à se développer et que le Papillomavirus est déclaré comme un facteur responsable du cancer du col de l'utérus.
Les médecins et les campagnes publicitaires cherchent une fois de plus à susciter la sensibilité des parents, en particulier des mères, afin de leur faire croire qu’elles "protègent" leurs enfants contre le cancer.
La vaccination contre le papillomavirus, jugée rassurante par les femmes, entraîne une réduction des frottis vaginaux. Malgré cette vaccination, le nombre de cancer du col de l'utérus recommence à augmenter. (voir les articles du Dr Nicole Delépine en cliquant ici et ici).
De nombreuses études s'interrogent sur l'impact réel du papillomavirus. Il est essentiel de réaliser des comparaisons honnêtes et indépendantes entre les groupes de femmes vaccinées et non vaccinées afin d'obtenir une évaluation précise de la situation.
La crise sanitaire que nous avons connue au cours des quatre dernières années interpelle et suscite des inquiétudes chez une partie de la population qui commence à se poser des questions sur l'efficacité réelle des vaccinations, ainsi que sur leurs éventuels effets secondaires.
Ces préoccupations sont au cœur des réflexions de la Ligue depuis longtemps.
Notre mission consiste à faire des études, à réfléchir, enquêter, proposer des solutions, solliciter des clarifications et informer, tout en respectant la liberté individuelle de chacun.
Les 11 vaccins et + : Questions-réponses
Stéphanie Reynaud, de Tribune Libre, s’entretient avec Sophie Guillot, lanceuse d’alerte santé et Martine Léonard, fondatrice du collectif « Parents & Citoyens France qui apportent des réponses à de nombreuses questions de parents.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la vaccination en général :
Cet enregistrement, qui vise à être aussi complet que possible, s'adresse à tous les parents, indépendamment de leur opinion sur les vaccins. Les intervenants, tout en tout en essayant d’être le plus exhaustifs possible, reconnaissent que ces questions et réponses pourraient nécessiter des précisions supplémentaires.
Pour toute demande d'information complémentaire, vous pouvez les contacter par courriel à : parents.citoyens.france@gmail.com
Vidéo du 14 novembre 2024 en cliquant ici
(sommaire minutieusement chapitré permettant d’aller directement à la question recherchée, cette vidéo étant très longue - 3h00)
Lien autisme/vaccination dévoilé par un lanceur d'alerte du CDC :
Steve Kirsch, un entrepreneur américain largement suivi pendant la pandémie et fondateur de l’organisation Vacsafety.org, appelle les médias traditionnels à publier un dossier explosif qu'il a reçu.
Ce dossier contient une compilation de documents mettant en lumière le fait que les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis) ont délibérément trompé le public pendant 30 ans sur le lien supposé entre la vaccination et l'autisme.
Ce précieux dossier réhabilite le Dr Andrew Wakefield, Brian Hooker (à l'origine du documentaire Vaxxed I), le scientifique repenti William Thompson, ainsi que de nombreux autres, dont les carrières ont été ruinées pour avoir tenté de mettre un terme à cette crise mondiale (1 enfant sur 33 aux États-Unis).
Il est certain que Robert Kennedy Jr. s'intéressera à ces informations, étant donné que l'équipe de sa fondation, Children's Health Defense, est principalement formée de familles affectées par ce genre de dommages liés aux vaccins.
D'après certaines rumeurs, plusieurs employés du CDC envisageraient de rédiger leur lettre de démission suite à l'annonce de la nomination de Kennedy à la santé.
Article en lecture complète :
Essentiel News - 22 novembre 2024 - en cliquant ici
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