1) Vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche - 2) Risque “exponentiellement” plus élevé de maladie /retard de développement chez les nourrissons recevant plusieurs vaccins en même temps
2024.07/1
1) Vaccination contre la coqueluche des femmes enceintes :
Depuis avril 2022, la vaccination contre la coqueluche est recommandée aux femmes enceintes, ceci sans poser la question à la future maman si elle a déjà été vaccinée ou si elle a déjà eu la coqueluche, sans vérifier donc si elle a des anticorps.
A savoir qu’il n’existe pas de vaccin unique pour la coqueluche, mais un cocktail avec 4 vaccins :
diphtérie (qui n’existe plus depuis fort longtemps)
polio
tétanos (ne touche que 3 cas/an, et des personnes âgées)
coqueluche.
De plus, la HAS (Haute Autorité de Santé) recommande cette vaccination à chaque grossesse !! et pour toutes les personnes de l’entourage du nouveau-né.
Donc, à chaque grossesse, une femme et son entourage vont recevoir à chaque fois en plus du vaccin coqueluche, des vaccins contre la polio, la diphtérie et le tétanos…
Alors qu’un communiqué du CHU de Montpellier indique une durée de protection par le vaccin coqueluche d’environ 5 ans.
Article complet en cliquant ici
Copié collé du communiqué de presse de la HAS du 12/04/2022 : “ Une vaccination recommandée à partir du deuxième trimestre de chaque grossesse “.
“ La HAS précise qu’il est nécessaire de vacciner la femme à chacune de ses grossesses. En effet, si la mère a été vaccinée avant la grossesse, la concentration des anticorps maternels est insuffisante pour assurer une protection passive des nourrissons. Si la mère n’a pas été vaccinée durant sa grossesse, et au moins un mois avant l’accouchement, la HAS recommande le maintien de la stratégie de cocooning. Il est alors nécessaire de vacciner la mère en post-partum immédiat, avant la sortie de la maternité, et ce même si elle allaite. La vaccination de l'entourage du nouveau-né est également encouragée à sa naissance ou avant. Cela concerne les parents, la fratrie, les grands-parents ainsi que toutes les autres personnes susceptibles d’être en contact étroit et durable avec le nourrisson au cours des six premiers mois de sa vie. “
Les médecins ne posent pas non plus la question pour savoir si la future mère souhaite allaiter.
A savoir que les anticorps transmis par la mère à son bébé après sa vaccination sont de très courte durée :
“ Des essais de vaccination de nourrissons dès leur naissance ont été tentés, mais leur système immunitaire ne semble pas encore assez développé, et tout comme la vaccination de la femme enceinte, cela pourrait réduire l’efficacité des futurs vaccins que recevra l’enfant. Toutefois, une première vaccination à six semaines serait aujourd’hui envisagée par les autorités sanitaires. “ -
Article complet INSERM du 05/06/2016 en cliquant ici
Réponse immunitaire plus faible lors de leur primo vaccination chez les nourrissons de mères vaccinées pendant la grossesse :
“ Lors de la primovaccination contre la coqueluche, on observe chez les nourrissons de mères vaccinées pendant leur grossesse, une réponse immunitaire plus faible (concentration des anticorps) que chez les nourrissons de mères non vaccinées : c’est ce qu’on appelle « l’effet blunting » “
Article complet CBIP (Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique) de décembre 2022 en cliquant ici
Pendant cette période, le taux de cas était moins élevé que depuis la mise en place fortement recommandée de la vaccination des futures mères et nourrissons.
Alors que cette vaccination est fortement “recommandée” aux femmes enceintes depuis avril 2022, Santé publique France a signalé une recrudescence de la coqueluche depuis le début de l’année 2024…
“ Après l’analyse des données de mortalité entre 2015 et 2023, il apparaît que « le nombre de décès provisoire pour l’année 2024 dépasse déjà le total des décès rapportés en 2017 (année où le plus grand nombre de décès chez les moins de 15 ans a été recensé). “
Article Le Télégram du 28/06/2024 en cliquant ici
Le Centre national de référence alerte "sur une forte augmentation du nombre de cas"
Article La Dépêche du 05/06/2024 en cliquant ici
Un nouveau vaccin nasal testé sur l’homme :
Un nouveau candidat vaccin est au stade de l’essai sur l’homme. Baptisé BPZE1 et développé par l’Inserm et l’Institut Pasteur de Lille, en partenariat avec la société de biotechnologie américaine ILIAD, il est constitué de bactéries B. pertussis vivantes, mais génétiquement modifiées pour leur ôter toute toxicité.
Administré en une seule dose, directement dans le nez.
L’objectif est de mimer au plus près l’infection naturelle par B. pertussis. Plusieurs études récentes ont montré que, malgré la couverture vaccinale actuelle avec les vaccins acellulaires, nombre de personnes sont infectées mais ne déclenchent pas la maladie. Elles ne sont pas « malades », mais elles peuvent transmettre la coqueluche.
Evolution des essais depuis 2015 du vaccin nasal :
Article complet Inserm - 10/03/2023 en cliquant ici
2) Les nourrissons qui reçoivent plusieurs vaccins en même temps courent un risque “exponentiellement” plus élevé de maladie et de retard de développement
“ Selon une étude évaluée par des pairs et publiée dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, plus un nourrisson reçoit de vaccins à la fois, plus il risque de développer une infection, une maladie respiratoire ou des retards de développement à la suite de ces injections. “
“ Jablonowski et Brian Hooker, directeur scientifique de CHD, ont analysé 20 ans de données concernant 1 542 076 combinaisons de vaccins administrés à des enfants de moins d’un an. (…) Ils ont identifié 45 diagnostics statistiquement significatifs de maladies respiratoires, de maladies du développement et de maladies infectieuses présumées à la suite des différentes combinaisons de vaccins. (…)
Les maladies respiratoires (toux, asthme, bronchite obstructive et bien d’autres) étaient les affections récurrentes les plus fréquentes après les différentes combinaisons de vaccins. “
Article complet de The Defender - Children’s Health Defense du 20/06/2024 en cliquant ici
Adhésion / dons :
Plus que jamais, nous avons besoin de vous pour continuer les actions que nous menons pour promouvoir la liberté vaccinale.
C'est pourquoi nous faisons appel à vous afin de soutenir notre cause en devenant adhérent et/ou en faisant un don.
En devenant adhérent, vous montrez votre engagement envers notre association et vous contribuerez activement à la pérennité de nos actions.
Vous recevrez aussi le bulletin papier de la LNPLV, édité trois fois par an.
Tout particulier ou entreprise peut faire des dons, lui permettant une réduction d’impôt de 66 % des sommes versées, dans la limite de 20% de son revenu imposable.
Merci du fond du cœur pour votre soutien continu et votre générosité.
Lors de vos partages, pensez à bien supprimer la partie “se désabonner” en bas de votre mail, afin qu’un de vos destinataires ne clique pas dessus et vous désabonne par inadvertance