La proteine Spike du vaccin Covid reste dans le sang très longtemps après l'injection - USA : interdiction du vaccin à base de gène sur l'Homme - Les vaccins anti-Covid bientôt interdits aux USA
2025.02/3
La proteine Spike du "vaccin" covid présente dans le sang très longtemps après l'injection
Des chercheurs de Yale ont trouvé que la protéine Spike du produit contre le Covid est présente dans le sang jusqu’à 709 jours après l‘injection. Cette découverte laisse supposer que des millions de patients atteints de Covid Long depuis longtemps pourraient être victimes du “vaccin”.
Le NIH (National Institutes of Health) (NDLR : institutions gouvernementales des États-Unis qui s’occupent de la recherche médicale et biomédicale) a consacré 1,6 milliard de dollars à la recherche sur le Covid Long, tandis que peu ou pas de fonds ont été alloués à l'étude des effets indésirables des vaccins.
Ces chercheurs de Yale ont publié une étude suggérant que des millions d'Américains, initialement soupçonnés d'être atteints de Covid long, pourraient en réalité avoir été mal diagnostiqués et souffrir d'un syndrome post-vaccinal venant de l'exposition à la protéine Spike présente dans les “ vaccins ” contre le Covid.
Cette protéine, produite par les “ vaccins ” des laboratoires Pfizer et Moderna, active la réponse immunitaire du corps. En 2023, la FDA a déclaré dans une vérification des faits réalisée par Politifact, que la protéine Spike contenue dans ce “vaccin” n'était pas toxique et qu'elle ne restait pas dans l'organisme.
Cependant, les chercheurs ont rapporté que certains patients, qui n'avaient jamais été infectés par le virus du Covid souffraient du syndrome post-vaccinal (PVS) et affichaient des niveaux élevés de protéine Spike du virus dans leur sang, et cela, jusqu'à 709 jours après leur “ vaccination “.
Article complet La Chronique de la DésInformation en cliquant ici
Modification du 21/02/2025 sur article :
USA : L'état du Montana vient d'interdire toute utilisation de vaccins à base de gènes chez l'homme
Le texte Montana HB371 n’ a pas été adopté en seconde lecture, voici le document le stipulant :
Cette information ci-dessous est donc maintenant obsolète :
L'État du Montana a mis cinq ans pour établir l’interdiction d’utiliser des vaccins à base de gènes chez l’homme. Combien de temps faudra-t-il pour le reste du monde ?
Les effets secondaires sont nombreux : décès, handicaps, impacts sur la fertilité, potentiellement cancérigène, contaminations, “shedding” (diffusion par les personnes vaccinées)... et absence de consentement.
Copié Collé du document Montana HB371 version 1 (non adoptée) :
Attendu que les vaccins à ARNm ont causé un nombre considérable de décès, de handicaps et de graves événements indésirables;
Attendu qu’aucune étude à long terme n'a été réalisée concernant la fertilité, la tératogénicité, la mutagénicité ou oncogénicité;
Attendu que les destinataires ne reçoivent pas de consentement éclairé ;
et considérant que les vaccins à ARNm peuvent s'intégrer dans le génome humain et être transmis aux générations suivantes ;
et attendu que les vaccins à ARNm sont contaminés par de l'ADN, des particules métalliques et d'autres nanoparticules
et attendu que les vaccins à ARNm peuvent être transmis à d’autres personnes et provoquer des effets secondaires ou des dommages.
IL EST DÉCLARÉ PAR LA LÉGISLATURE DE L'ÉTAT DU MONTANA :
Une personne ne peut pas fournir ou administrer un vaccin à base de gènes à un être humain dans l'État.
Une personne qui enfreint cette section est coupable d'un délit et est passible d'une amende de 500 $ pour chaque incident.
Le conseil d'agrément approprié au sein du ministère du Travail et de l'Industrie du Montana doit examiner la licence d'une personne qui est titulaire d'une licence en vertu du Titre 37 et qui enfreint cette section.
Aux fins de cette section, « vaccin à base de gènes » désigne un vaccin développé à l'aide de la technologie de l'acide ribonucléique messager (ARNm), de la technologie de l'acide ribonucléique messager modifié, de la technologie de l'acide ribonucléique messager auto-amplificatrice ou de la technologie de l'acide désoxyribonucléique.
Source : “ Montana HB371 Première lecture Interdire les vaccins à ARNm pour les humains dans le Montana “
Montana HB371 Seconde lecture, non adoptée en cliquant ici
Information trouvée sur : Télégram de Alexandra Henrion-Caude
Article de USSA NEWS du 07/02/2025 : “ Un nouveau projet de loi exige l'interdiction des « vaccins » contre le Covid en raison du « nombre énorme de décès » “ en cliquant ici
Les vaccins anti-Covid bientôt interdits aux USA ?
Alors que des “ experts” médicaux s'expriment dans le journal Le Monde en faveur de la vaccination des femmes enceintes, (y compris contre le Covid19 !), les États-Unis envisagent d'interdire les vaccins à ARNm pour l'ensemble de la population !
L'équipe de Donald Trump indique que les vaccins contre le Covid pourraient être suspendus pour toutes les tranches d’âge aux États-Unis.
Le Dr Jay Bhattacharya récemment nommé à la tête des “National Institutes of Health” (NIH), a apporté son soutien à une pétition demandant la suspension et le retesting des vaccins à ARNm. En effet, il estime qu’il pourrait exister un « lien de cause à effet » entre les injections d’ARNm et l’augmentation préoccupante de la surmortalité dans le monde.
De plus, le Dr Aseem Malhotra, un cardiologue britannique envisagé pour un poste de conseiller en santé dans les nouveaux départements de santé de Robert Kennedy Jr., a lui aussi sollicité la suspension des “ vaccins “.
Article InfoduJour 20 février 2025 en cliquant ici
Article DailyMail par Connor Boyd Rédacteur Santé et scientifique du 19 février 2025 en cliquant ici
RAPPEL :
Notre Assemblée Générale se tiendra le 26 avril 2025 à Saintes - Complément d’informations en cliquant ici
INFORMATIONS GENERALES - à diffuser largement : Plateforme d’écoute " SOS Effets indésirables Vaccinations et Covid ”
Numéro Vert : 0 972 129 808
Issue de dialogues avec des associations et des collectifs de victimes de la vaccination anti-Covid, la plateforme propose un espace d'écoute pour ceux dont la voix et la douleur, tant physique que psychologique, sont ignorées ou minimisées, ainsi qu'à ceux qui souhaitent partager leur expérience. Des bénévoles formés offrent un accueil bienveillant et confidentiel, tout en orientant les personnes selon leurs besoins vers des associations appropriées, du lundi au samedi de 10h à 22h. Vous pouvez également contribuer à cette initiative en rejoignant notre équipe d'écoutants par le numéro vert ci-dessus ou à l'adresse suivante : sos.ecouteei@proton.meLien pour écouter la présentation de “ SOS Ecoute EI ” par Louis Fouché en cliquant ici
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