1) Japon : des chercheurs alertent sur le don de sang de personnes injectées. 2) Nlle-Zélande : 3 fois plus de morts après l'injection covid19. 3) Confirmation de causalité du décès avec l’injection
2024.03/4
1) Japon : des chercheurs alertent sur le don de sang de personnes injectées
Dans une publication préliminaire publiée dernièrement, rapportée par le magazine The Exposé en référence à Thailand Medical News, des chercheurs japonais alertent les professionnels de la santé sur les risques importants associés aux transfusions sanguines pratiquées avec le sang donné de personnes ayant reçu l’injection contre le covid-19. Cela concerne aussi toutes les transplantations d'organes, les greffes de moelle osseuse.
Voici ce qu’ils écrivent :
« Les dommages sanitaires causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations concernées prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier, contrôler et éliminer les risques. »
De nombreux pays à travers le monde ont signalé les effets secondaires des injections anti-covid (thromboses, dommages cardiovasculaires ultérieurs après l'injection, variété de maladies qui affectent tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux).
Transition News - 20 mars 2024 - Article complet en cliquant ici
2) Nouvelle-Zélande : 3 fois plus de morts après l'injection covid19
Hervé Seligmann a analysé les données livrées par le lanceur d'alerte néo-zélandais, administrateur de la base de données néozélandaise “Oracle”.
(voir notre lettre 2024.01/1).
Ces données confirment que les injections contre le covid tuent, avec jusqu'à dix fois plus de mortalité à court terme, trois fois plus à moyen terme et pour le long terme, cela reste inconnu.
RESUME :
“ Une vaste base de données divulguée en Nouvelle-Zélande permet d’explorer toutes les causes de mortalité après les injections de covid-19. Pour les injections 1 à 3, les taux quotidiens de mortalité après injection comportent deux périodes distinctes.
La première période commence dès l’injection. La surmortalité quotidienne augmente rapidement pour atteindre 4 à 10 fois la mortalité attendue ajustée selon l’âge, puis diminue jusqu’à atteindre un taux journalier stable. Cette première période dure environ 180, 250 et 315 jours pour les injections 1, 2 et 3.
La deuxième période avec des taux journaliers de mortalité stables se caractérise par un retour à la mortalité normale attendue pour les 1ères injections , et une surmortalité journalière stable 2 à 4x. le taux de mortalité normal attendu pour les injections 2-4. Les causes des deux périodes distinctes restent inconnues.”
Les dépêches Citoyennes - 23/12/2023 Article complet en cliquant ici
3) Confirmation de causalité du décès avec l’injection anti-covid pour Anthony
Dans une précédente lettre d’information, (lien ici), nous avions parlé de Anthony, 24 ans, ce jeune Nantais décédé après son injection en 2021, il y a 3 ans. Sa maman, Myriam Rio, a pu avoir accès au dossier qui est entre les mains de deux juges d’instruction : le rapport du médecin légiste est formel et confirme le lien de causalité entre le décès de son fils et l’injection anti-covid AstraZeneca. Cette procédure s’annonce sera longue et complexe.
Article Ouest France du 23/03/2024 (article complet réservé aux abonnés) en cliquant ici
Article de 2021 qui stipulait “aucun lien entre le décès et l’injection “ !
Pour le Quotidien du Médecin du 25/03/2021, Florian, médecin urgentiste à Nantes, souligne les points suivants :
“Sur la précipitation de l'ANSM à commenter le décès alors que l'enquête médicale et judiciaire est toujours en cours.”
« Il y a de fortes raisons de suspecter le vaccin ».
« L'ANSM défend, sans argument tenable, l'innocuité du vaccin, le jour même des résultats de l'autopsie, pour protéger le gouvernement qui ne peut plus faire marche arrière, au risque d’être, encore une fois, ridicule. C'est à vomir. »
Article complet en cliquant ici
2 jours après le décès de Anthony, le produit AstraZeneca a été retiré du marché…
En mars 2021, l’utilisation d’AstraZeneca a été temporairement suspendue en France et d’autres pays de l’Union européenne (Allemagne, Italie, Espagne…), ont pris des mesures similaires, suite à des événements thromboemboliques et des troubles de la coagulation survenus chez certaines personnes, en France et dans plusieurs pays européens, ceci dans l’attente d’une décision du Comité des médicaments à usage humain de l’EMA.
AstraZeneca : le lien entre vaccination et décès établi :
Interview de Maître Etienne Boittin, avocat de la famille Rio :
Ouest France du 25.03.2024 : “ Le lien entre la mort de l’étudiant nantais Anthony Rio en mars 2021 et le vaccin AstraZeneca a été établi selon l’avocat de la famille.”
Nous rappelons notre pétition pour l’abrogation des obligations vaccinales ainsi que notre lettre du 17/01/2024 expliquant notre choix de l’avoir mise sur le site de l’Assemblée nationale.
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