L’OMS vise les pleins pouvoirs dès 2024. Est-elle dirigée par un terroriste ?
2024.02/1
En mai prochain, si les quelques 300 amendements qui concernent le Règlement Sanitaire International et un futur traité pandémique sont adoptés, cela conférerait à l’OMS un pouvoir absolu en cas de déclaration d’urgence sanitaire par son directeur Tedros Ghebreyesus.
Ces "traités pandémiques" pourraient faire de lui le “maître du monde”.
L’OMS compte actuellement 194 États membres, dont le Canada.
Aujourd’hui, les revenus de l’OMS sont financés à presque 80 % par la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a pris son contrôle ; auparavant, il y a 25 ans, plus de 50% du budget de l’OMS venait des contributions publiques obligatoires des pays membres de l’OMS, qui maintenant ne représentent que 18 à 20%.
Si, lors de l’Assemblée Générale de 2024, les modifications sont acceptées, Tedros Ghebreyesus (ancien cadre de l’Alliance du Vaccin -GAVI- créée par Bill Gates) aurait tous les pouvoirs, devenant donc plus puissant que tous les chefs d’États réunis !
Et son rôle d’autorité se manifesterait aussi pour d’autres domaines, comme l’environnement, la santé animale, le climat et même la santé psychologique, avec l’introduction du “One-Health” (“Une seule santé“).
Il pourrait, lors de toutes situations, (vraies ou fausses), contraindre les États-membres de mettre en place des mesures qui impacteraient tous les aspects de la société.
Rappelez-vous, en 2022, Tedros Ghebreyesus avait unilatéralement déclaré la variole du singe comme étant une “ urgence de santé publique de portée internationale ”, cela contre l’avis même de son propre groupe d’experts.
Ce 17 janvier 2024, une session du Forum Économique Mondial, (WEF) de Davos, portant le sujet : “ Se préparer à la maladie X ”, cette mystérieuse " maladie X " qui, d’après eux, serait 20 fois plus mortelle que la pandémie de Covid, montre Tedros Ghebreyesus aux côtés du président du conseil d’administration d’AstraZeneca.
Maurizio Blondet, journaliste italien à la retraite, a écrit un article sur son blog, d’après les propos tenus par le WEF et l’OMS, qui se préparent à une nouvelle pandémie, et rappelle qu’une grande épidémie ne se produit en général que tous les 100 à 150 ans.
A savoir que l’origine la plus probable du virus du Covid, selon le Département américain de l’énergie et le FBI (avec une tentative de dissimulation de preuves par la CIA), est la fuite du laboratoire. (CovidHub du 27/12/2023 : “ Omicron conçu en laboratoire, selon des chercheurs japonais”).
Ce qui est étrange est la certitude annoncée par l’OMS du taux de mortalité avec cette “ future maladie inconnue imminente ”, comme étant 20 fois plus élevé que pour le Sars-Cov-2 !
Danger de la liberté d’expression
Des outils de censure sont aussi prévus afin que seules les informations “officielles” puissent être diffusées, avec des mesures prises par les États pour faire taire les lanceurs d’alerte et journalistes qui donneraient des informations “fausses ou trompeuses” ou participeraient à la “désinformation”.
Ceci est contraire aux principes de nombreuses constitutions avançant le “ droit d’être informé et de la liberté d’expression”.
De nombreuses pétitions pour arrêter les réformes de l’OMS circulent sur Internet, comme celle de l’ONG CitizenGo qui a récolté presque un demi-million de signatures.
Certains politiciens s’avancent, comme Robert Fico, premier Ministre slovaque, qui a déclaré vouloir rejeter les deux instruments de l’OMS, “ estimant que les politiques Covid ont violé les droits humains fondamentaux et que les traités constituent une atteinte à la souveraineté des États ”, ou en Suisse, avec Franz Grüter, du Conseil national de droite, ou encore en Estonie, où 11 parlementaires du Parti populaire conservateur ont écrit une lettre à l’OMS pour demander à rejeter les réformes en cours.
L’OMS, cheval de Troie ?
James Corbett, reporter canadien, vit et travaille au Japon depuis 19 ans. Il a fondé le Corbett Report en 2007 comme source d’informations sur la politique, l’économie, la science, la philosophie et la société.
Depuis 15 ans, il suit les activités de l’OMS.
Dans cette vidéo de 15 minutes, il rappelle les racines historiques de cette organisation et les nouveaux enjeux du pouvoir «bio-sécuritaire» au niveau mondial.
Vidéo en cliquant ici (A voir sur la 2ème vidéo, Covidhub a traduit et sous-titré son intervention en français).
Manque de transparence par l’OMS :
En 2010, les conclusions de deux enquêtes menées par le British Medical Journal et le Conseil de l’Europe ont blâmé l’OMS pour son manque total de transparence, et ont démontré que les principaux scientifiques, qui ont conseillé Margaret Chan, (ancienne directrice de l’OMS) de déclarer une USPPI (Urgence de santé publique de portée internationale) pour la grippe porcine, avaient travaillé contre une rémunération pour des sociétés pharmaceutiques.
S’en sont suivies d’autres USPPI, en 2013 pour l’Ébola en Afrique de l’Ouest, en 2014 pour la polio, en 2015 pour une “épidémie” du virus Zika, de 2018 à 2020 pour l’épidémie d’Ebola du Kivu et… en 2020 pour la pandémie du soi-disant nouveau coronavirus et en 2022 pour la “pandémie de variole du singe ”.
Tout cela a permis des gains fructueux pour les fabricants de produits pharmaceutiques et autres bénéficiaires de ce “complexe bio-sécuritaire”, qui permet de développer des “autorités sanitaires” dans chaque pays.
Pour en savoir plus à ce sujet, voir la transcription de la déclaration disponible sur le site corbettreport.com/pandemictreaty, et consulter les archives du Rapport Corbett pour voir les travaux antérieurs de James Corbett sur l’OMS et la gouvernance bio-sécuritaire. A voir aussi ses conversations mensuelles avec le Dr Meryl Nass de Children’s Health Defense.
L’OMS est-elle dirigée par un terroriste ?
Je partage la Lettre de Senta Depuydt, qui dans sa lettre d’information du 04 février, a écrit un article sur le parcours de Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur actuel de l’OMS, “ depuis ses débuts au sein d'une organisation terroriste ”.
La lettre de Senta en cliquant ici
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