Essais du vaccin Gardasil® sur des enfants de 28 jours dont la papillomatose respiratoire récurrente, maladie rare, liée au Papillomavirus qui provoque également des verrues génitales
2025.07/2
Dans le cadre d’un essai financé par le National Institute of Child Health en Hongrie, en collaboration avec Merck, des chercheurs évaluent le vaccin Gardasil® chez des nourrissons pour prévenir la papillomatose respiratoire récurrente (PRR), une maladie rare de l’enfance causée par le HPV (Papillomavirus humain).
Initialement, l’étude devait porter sur des enfants de 1 an atteints de PRR, recevant trois doses du vaccin contre le HPV pour « évaluer la réponse immunitaire ». Cependant, des informations récentes indiquent que les tests sont désormais réalisés sur des enfants âgés de seulement 28 jours. L’état actuel de l’étude reste inconnu, car celle-ci n’a pas encore été déclarée comme terminée.
Les vaccins contre le Papillomavirus humain (HPV), commercialisés sous les marques Gardasil® et Cervarix, suscitent depuis presque toujours une controverse croissante.
Lancé en 2006 par Merck, le Gardasil® a été rapidement approuvé par la FDA, malgré des essais limités (moins de 1 200 jeunes filles suivies deux ans) et l'absence de preuves solides d'efficacité ou d'innocuité. Initialement destiné aux filles de 9 à 26 ans pour prévenir le cancer du col de l’utérus, le vaccin a été recommandé plus tard pour les pré-adolescents.
Le schéma de vaccination a évolué, passant de trois à deux doses pour les jeunes de 9 à 14 ans, tout en restant à trois doses pour les adultes jusqu’à 26 ans. Depuis, il est envisagé que le vaccin puisse un jour être administré dès la petite enfance, voire aux bébés, comme c’est le cas pour le vaccin contre l’hépatite B.
Le vaccin contre le HPV a-t-il été testé sur les nouveau-nés ?
Il existe plus de cent types de HPV, dont quarante se transmettent sexuellement. Cependant, seulement une douzaine de ces types semblent liés au cancer. Les virus 6 et 11, responsables des verrues génitales et de la PRR, sont-ils réellement associés au développement de la maladie cancéreuse ?
Alors, pourquoi Merck aurait-il intégré deux souches de HPV non liées au cancer, si ce n’est, comme le laisse entendre Marcella Piper-Terry, journaliste pour Vaccine Impact News, « que tout ait été planifié dès le début » ? Préméditation ?
Pourquoi vacciner les nouveau-nés contre une maladie sexuellement transmissible ?
Même en omettant les effets secondaires potentiels du vaccin contre le HPV, dont de nombreux cas ont été signalés depuis l'autorisation du Gardasil®, vacciner des bébés contre des maladies auxquelles la majorité d’entre eux sont peu exposés nécessite une réflexion approfondie.
C’est aussi le cas du vaccin contre l’hépatite B, dont la recommandation est de l’administrer dès la naissance. Le programme de vaccination standard préconisé en France par le gouvernement pour les enfants comprend trois doses du vaccin contre l’hépatite B, la troisième devant être administrée avant l’âge de 18 mois.
L'hépatite B se transmet principalement par le sang et concerne surtout les adultes ayant un mode de vie à risque, comme les personnes pratiquant des relations sexuelles non protégées avec plusieurs partenaires ou partageant des aiguilles lors de la consommation de drogues injectables.
Ce n’est pas une maladie courante chez les enfants ou les nouveau-nés, sauf si la mère est porteuse du virus et n’a pas été dépistée avant l’accouchement.
La vaccination des bébés contre l’hépatite B est donc débattue, car des études suggèrent que l’immunité acquise dans l’enfance diminue avec le temps, laissant la porte ouverte à une infection lors de l’adolescence. Quel en est donc l’intérêt ?
En ce qui concerne le vaccin contre le HPV, les études menées jusqu’à présent ont suivi uniquement des personnes vaccinées à l’adolescence pendant une période de dix ans.
Par conséquent, il n’est pas encore connu si ce vaccin, administré durant la petite enfance, resterait efficace lorsque l’enfant atteindrait l’adolescence ou une étape ultérieure — période durant laquelle la transmission du virus se fait principalement par voie sexuelle.
L’efficacité du Gardasil® remise en question
Il est important de noter que l'efficacité du Cervarix et du Gardasil® a été largement remise en question depuis le début. Initialement, les essais cliniques ont principalement évalué leur capacité à prévenir les cancers et les dysplasies du col de l’utérus, considérées comme précurseurs du cancer, plutôt que le cancer lui-même. Or, ces vaccins sont commercialisés comme étant destinés à prévenir le cancer cervical.
De plus, étant donné le faible taux de cancer du col de l’utérus aux États-Unis, le Dr Harper estime qu’il faudrait vacciner au moins 70% de la population pendant 60 ans pour observer une réduction significative du nombre de cas, ce qui n’a pas encore été prouvé.
En 2015, seule une minorité de jeunes adolescents étaient vaccinés (28% des garçons et 42% des filles), ce qui rend la preuve de leur efficacité contre le cancer encore incertaine, surtout si l’on ne pratique pas régulièrement des frottis.
Il existe également des soupçons selon lesquels le Gardasil® pourrait, paradoxalement, augmenter le risque de cancer du col si la personne est déjà infectée par le HPV au moment de la vaccination.
Par ailleurs, une étude a montré que 60% des femmes vaccinées ont présenté un risque accru d’infection par un autre type de HPV.
L'importance des frottis vaginaux réguliers : pourquoi le Gardasil® peut être superflu pour prévenir le cancer du col de l'utérus
Plus de 90% des infections à HPV sont asymptomatiques et se guérissent spontanément, généralement en six mois à deux ans. Seulement 5% deviennent chroniques, principalement chez les personnes présentant des facteurs de risque comme une absence de dépistage régulier, une infection au VIH, le tabagisme, plusieurs partenaires sexuels, l’usage prolongé de contraceptifs oraux ou une immunodépression.
Sans dépistage par frottis vaginal, les lésions précancéreuses peuvent évoluer vers un cancer du col de l’utérus en trente ans, affectant environ la moitié des femmes si elles ne sont pas traitées.
Dans les pays développés, les programmes de dépistage ont considérablement réduit l’incidence du cancer. Selon le Dr. Harper, chez les femmes régulièrement dépistées, la vaccination contre le HPV est surtout utile si le nombre de frottis diminue, mais elle ne remplace pas la prévention du cancer par dépistage.
Le lien entre le Gardasil®, neuroinflammations et réactions auto-immunes
Le Gardasil® est associé à divers problèmes de santé, notamment des troubles neurodégénératifs inflammatoires d’origine immunitaire, pouvant parfois être fatals. Lors de la 4ème conférence internationale sur le vaccin en 2009, le Dr Harper a indiqué que trente-deux décès liés au vaccin avaient été recensés, dont vingt confirmés.
La littérature médicale croissante relie également le vaccin anti-HPV à des troubles du système nerveux et immunitaire chez certains jeunes. En raison de ces risques, le Japon ne recommande plus le Gardasil®.
Des études, comme celle publiée en 2016 dans Immunologic Research, ont montré que les adjuvants aluminiques et les antigènes du HPV provoquaient des changements comportementaux, des neuroinflammations et des réactions auto-immunes chez la souris.
Les essais cliniques avant l’autorisation ont utilisé un placébo contenant de l’aluminium, ce qui remet en question la neutralité des contrôles.
Une étude de 2016, initialement publiée dans Vaccine puis retirée pour des raisons de « bien-fondé scientifique », a été rééditée dans Immunologic Research avec des conclusions identiques. La co-auteure Lucija Tomljenovic affirme que des pressions de l’industrie pharmaceutique ont conduit au retrait de l’étude.
En résumé, adopter une alimentation équilibrée, pratiquer une sexualité responsable et respecter les règles d'hygiène constituent d'excellentes stratégies pour prévenir le HPV. Il est également bénéfique de maintenir un taux optimal de vitamine D, de limiter la consommation de sucre et d'utiliser des préservatifs, car ces mesures renforcent le système immunitaire et aident à réduire le risque d'infections sexuellement transmissibles à HPV, dont la majorité des personnes se remettent sans intervention médicale. Quel intérêt si ce n’est financier de vacciner des nourrissons contre le Papillomavirus ?
Article complet Mercola du 28/06/2025 en cliquant ici
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Articles sur le Gardasil® sur le site Web de Children's Health Defense
Composition du vaccin Gardasil®
Selon le site “ Mes Vaccins “
1. Antigène
Une dose (0,5 mL) contient environ :
Protéine L1 de papillomavirus humain1 de type 62, 3 : 20 microgrammes
Protéine L1 de papillomavirus humain1 de type 112, 3 : 40 microgrammes
Protéine L1 de papillomavirus humain1 de type 162, 3 : 40 microgrammes
Protéine L1 de papillomavirus humain1 de type 182, 3 : 20 microgrammes
1 : Papillomavirus humain = HPV.
2 : Protéine L1 sous la forme de pseudo-particules virales produites sur des cellules de levure (Saccharomyces cerevisiae CANADE 3C-5 [souche 1895]) par la technique de l'ADN recombinant.
3 : Adsorbée sur sulfate d'hydroxyphosphate d'aluminium amorphe (Al : 0,225 mg) comme adjuvant.
2. Excipients
Chlorure de sodium
L-histidine
Polysorbate 80
Borax
Eau pour préparations injectables
INFORMATIONS GÉNÉRALES à diffuser largement :
“ SOS Écoute “ : 0 972 129 808 (Numéro Vert)
Ligne téléphonique de soutien confidentielle pour les victimes d’effets secondaires de l’injection contre le Covid 19 et du Covid long, créée par le Dr Louis Fouché. Bénévoles recherchés (minimum 3 h/jour), avec une formation gratuite pour devenir “écoutant”.
Contact numéro vert : 0 972 129 808 ou : sos.ecouteei@proton.me
Présentation par Louis Fouché de “ SOS Écoute ” en cliquant ici
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